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 Azhura Gaedig

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Anonymous
MessageSujet: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty2009-11-18, 23:18

Nom: Gaedig
Prénom: Azhura
Surnom: Aza pour ses amies, Azure pour les hommes de haute stature, ou généralement "putain" ou "catin" pour les brigands - et elle s'en fout, tant qu'ils payent.
Age: 25
Sexe: Féminin
Race: Humaine.
Lieu de naissance: Azhura est née dans Fenz, à priori dans l'arrière bas-fond d'une taverne où elle est restée pas mal de temps à brailler avant que quelqu'un l'entende et vienne retrouver ce bébé dégueulasse et puant, couvert de sang et de liquide amniotique.
Métier: Officiellement catin, mais elle rêve de devenir "Alchimiste".
Dons: Elle ne possède aucun don si ce n'est celui de se servir de son corps; cependant elle a quelques rapports avec la magie, ceci est expliqué plus tard.
Orientation: Soumise à la domination chérubine, elle les détestent mais les manipulent comme tout ce qu'elle peut: naturellement, les chérubins ont aussi besoin de prendre du bon temps, et il s'avère que beaucoup aiment les étrangères bien faites. Azhura en fait partie.

Physique:
Il est difficile de la décrire en commençant par son visage, car son corps attire davantage le regard qui tient même à rester fixer sur ses courbes généreuses, voluptueuses et envoutantes. Azhura possède sans doute de quoi faire tourner toutes les têtes: même celles des autres femmes, par jalousie ou parfois envie. Sa descente de reins vertigineuse est soulignée par une robe pourpre ouvragée qui trace une ligne parfaite le long de son dos cambré. L'étoffe aux reflets nacrés caresse doucement son ventre doux, un poil rebondi, et descend le long de son fessier pour continuer jusqu'à ses genoux où une flopée de dentelles blanches cache des jupons très accueillants. Mais cette merveilleuse tenue qu'elle porte rehausse aussi ses seins au rang de deux belles lunes obscènes; il n'y a pas de doute à la voir, c'est une catin riche et pour de la clientèle de... haut vol.

Cette clientèle n'a que faire de son visage aussi charmeur soit-il, car tous ces messieurs s'intéressent généralement au postérieur de la demoiselle, ou à son entrejambe, cependant il faut savoir que son minois hâlé est encadré de longs cheveux noirs de jais, autant que ses sourcils surmontant des yeux inquisiteurs et avides de pouvoir d'une couleur ambrée. Ses lèvres pulpeuses éclairent d'un rouge aussi sanglant que sa robe son sourire enjôleur; son nez fin et ses pommettes délicates pourraient la faire passer pour une délicieuse bourgeoise: ce qu'elle devient petit à petit.

Caractère:
Azhura porte un prénom qu'elle abhorre, donné par des taverniers ploucs qui la livrèrent à des prostiputes quand elle eut trop crié dans leur arrière-salle. Elle déteste donc l'espèce humaine pour la simple raison d'avoir inventer cet hideux nom, et lui avoir donné vie. Mais désormais qu'elle est là, elle estime qu'elle peut en profiter. Or quand elle décide quelque chose, elle n'y va jamais à moitié: elle est d'une ambition ravageuse, dévorée par ses désirs et péchés, elle n'a comme rêve que d'être riche à en perdre la raison, pour pouvoir manger à s'en crever le bide et à faire des orgies toutes plus obscènes les unes que les autres. Elle n'a pas de but dans la vie autre que celui d'être la meilleure; et pour elle, cela ne signifie pas faire le bien mais se faire du bien. Elle sait saisir toute occasion de profiter du temps qui lui est imparti sur cette terre, et pense sincèrement que les Dieux n'ont rien à curer de ses actions, c'est pourquoi elle n'hésite pas à faire du mal voire le mal pour vivre comme elle le sent.
Il en découle qu'elle a tué pour que ses désirs ardents continuent d'être assouvis: sang, sexe, boisson, et surtout pouvoir. Ayant un corps parfait, elle a d'ailleurs très peu de difficultés à embrouiller l'esprit des hommes afin d'obtenir ce qu'elle souhaite. Puis, quand elle ne l'a pas, une bonne dose de poison dans un verre de vin suffit: la mort ne lui fait pas peur et celle des autres a tendance à lui être jouissive. La plupart des femmes la voient donc comme une harpie vicieuse et honteusement répugnante, tandis que tous les hommes sentent en elle un excellent coup sans se rendre compte qu'elle se joue avec humour noir d'eux comme de vulgaires pantins.
Certains ont même cru qu'elle possédait derrière cette rancœur et cette soif de pouvoir un quelconque amour propre: ce n'était que pour mieux les duper. Sorcière.

Son état d'esprit est noirâtre depuis l'arrivée des chérubins, et elle ne supporte plus grand chose; elle regrette ces années où elle était épanouie et heureuse en exerçant le métier passionnant d'alchimiste. Un jour, si cela revient, elle pourra de nouveau sourire.

Armes maîtrisées: La dague et le poignard sont les deux outils favoris de la catin; elle les utilise pour tuer ses victimes quand elle a besoin de faire disparaître rapidement quelqu'un mais, plus régulièrement, les deux lui servent à couper les tiges et diverses branches des plantes qu'elle requiert pour concocter ses filtres magiques: poisons, aphrodisiaques, paralysants...
Disciplines maîtrisées: La demoiselle s'en sort particulièrement bien en alchimie noire et en science des plantes pour une raison expliquée dans la suite de la fiche; sait lire mais écrit assez mal; sait parler les bases du chérubin.

Histoire:
Azhura naquit en 403 de parents inconnus quelque part dans Fenz; elle a été balancée dans une taverne sans ménagement et abandonnée. Orpheline donc, elle fut recueillie six mois par des abrutis de taverniers qui la nourrirent jusqu'à qu'elle braille trop, et qui la rejetèrent à la rue d'où elle venait.
Intervint alors Demida, une prostituée au cœur grand mais malheureusement vide qui accepta de le remplir en prenant Azhura sous son aile. Ainsi devint-elle le bébé de la maison close "Au fruit défendu", dans les bas-quartiers de la cité.
L'ambiance dans laquelle elle grandit fut donc totalement dépourvue d'innocence, elle vit tout au long de son enfance des hommes défiler à la porte de l'établissement, monter dans les chambres: beugler, crier, jouir, mais parfois le tour semblait aux filles de hurler de douleur. Violences, insultes, personne n'allait envier la vie de ces femmes, et pourtant à l'adolescence, elle ne manqua pas de suivre les traces de toutes ces "championnes". A quatorze ans déjà, elle servait de jouet aux plus pervers, et perdit rapidement son humanité.
Ses années lui servirent amplement à comprendre comment fonctionnait l'esprit des hommes, obnubilé par le désir charnel, et plus intelligente que la plupart -une chance!- de ses "amies" d'infortune, elle trouva le moyen de leur soutirer de plus en plus d'argent, de se faire accorder des faveurs, en les manipulant. Petit à petit, cela alla plus loin; elle se mit à sortir de la maison close pour aller chercher des proies, profitant des rares moments où on l'envoyait quérir tel ou tel objet, telle ou telle fourniture au marché.
Son vice alla jusqu'à corrompre le prêtre en se faisant passer pour une fille pauvre; elle parvint à révéler son désir puis par la suite, à le faire chanter pour obtenir l'argent des fidèles. Mes ses sœurs elles-mêmes ne voyaient pas cela d'un très bon œil, bien trop débrouillarde la gosse, et dangereuse. Elle fut bannie de la "communauté" et migra donc vers Avoriaz.


Dernière édition par Azhura Gaedig le 2009-11-20, 01:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty2009-11-20, 00:29

Azhura ne parvenait pas à apercevoir la seconde lune; mais l'observation de la première occupait déjà son temps. Des nuages effilés parsemaient le ciel clair pour cette chaude nuit d'été, mais la ville s'était endormie malgré le temps clément et il n'y avait pas grands clients. Son favoris, un petit bourgeois des hauts quartiers, s'absentait pour les trois journées à venir, elle ne pouvait donc pas lui soutirer de l'argent et passer sa nuit dans un lit chaud; cela faisait longtemps que ce n'avait pas été le cas.
Appuyée contre le mur pâle d'une boutique à l'enseigne illisible et aux vitres sombres mais surtout poussiéreuses, la catin croisait les bras sur son corset en observant la rue; le peu de passage l'inquiétait un peu, dans ce cas, les brigands s'amusaient beaucoup plus qu'en temps normal. Bien sur, Avoriaz et ses bas quartiers n'égalaient pas ceux de Fenz, réputés pour le danger honteux qu'ils représentaient: de vrais coupe-gorges, mais ici, elle ne se sentait pas plus en sécurité.
Une brise douce caressait ses cheveux imprégnés d'un parfum délicat, effleurant sa peau. Elle frissonna. La soirée s'annonçait pourtant calme et agréable; si seulement l'argent ne posait pas autant problème. Elle irait prendre une chambre dans la Taverne de la Mie, quelques rues plus loin; un lit douillet, des oreillers légers, un bon sommeil.
Puis soudain, des bruits de sabots. Sur la façade opposé, le reflet d'un cavalier parcourut lentement les vitres, puis l'étalon aux naseaux brulants, à la robe noire comme l'ébène et à la stature plus qu'imposante déboucha devant Azhura, qui se redressa inquiète. Un homme, encapuchonné et juché sur le destrier, semblait la toiser; même si elle ne pouvait pas le voir. L'émissaire s'arrêta, et sans poser pied à terre, s'adressa à la catin d'une voix profonde mais d'un ton rassurant:


-Bonsoir demoiselle. Montez.

Elle sursauta, puis tenta d'apercevoir le visage dans l'obscurité, en vain. Qui était-il ? Que lui voulait-il ? Bien entendu, cela paraissait logique, mais la méfiance était de mise: ses clients n'avaient pas souvent l'aspect d'un messager de la mort ou d'une quelconque force obscure et... tant qu'il pouvait payer; mieux valait en être sur.

-Deux-cent cinquante sous la nuit, vous pouvez vous l'offrir ?

Une sorte de rire silencieux secoua la silhouette, qui en guise de réponse, sortit de sous sa cape un médaillon brillant et incrusté qu'Azhura identifia comme en or. Cela valait bien plus que deux-cent cinquante sous, à ne pas en douter.

-Il est à vous, prenez-le. Mais montez.

Elle n'hésita pas plus longtemps, arracha presque l'objet si précieux des mains de son ancien possesseur et grimpa sur la bête sans demander son reste.

Les sabots claquaient à un rythme régulier sur les pavés imparfaits de la chaussée, pourtant belle sous la lueur des grandes enseignes éclairées par de multiplies bougies et torches: les quartiers riches, la nuit, respiraient l'aisance et le calme. Ça et là, des gens discutaient, d'autres allaient et venaient de boutiques en boutiques, d'autres encore observaient avec émerveillement les vitrines illuminées. A cette heure pourtant tardive, l'entière cité ne dormait finalement pas. Azhura se tenait contre l'homme toujours encapuchonné, qui ne montrait strictement aucun désir pour sa personne; cependant elle s'était plaquée dans son dos en prenant bien attention à l'entourer de ses bras juste au dessus de la taille, tandis que ses seins lui effleuraient les omoplates. Subjuguée par les beautés de la ville, elle ne retint pas le chemin qui l'écartait des quartiers mal-famés; quand l'homme lui prit les avant-bras et se dégagea de son étreinte, elle ne reconnut pas le lieu. Il mit pied au sol dans une petite cour pavée donnant sur la rue par un porche de pierre, -la lumière provenait d'une grande coupelle accrochée à la voûte par de larges chaines et dans laquelle brûlait un feu orangé. En face, une large porte de bois que la silhouette ouvrit. Azhura descendit à son tour, non sans mal; le cheval s'éloigna de lui-même vers des écuries situées de l'autre côté dudit porche.


-Bienvenue dans ma modeste demeure.

Puis l'homme entra; modeste n'aurait pas été le bon mot pour décrire ce que la catin découvrit. Elle écarquilla les yeux sur une salle spacieuse et richement décorée de tableaux et de tapisseries où trônait de grandes armoires remplies de bocaux en tous genre. Dans la cheminée, les flammes léchaient déjà des buches à moitié consumées, signe que la maison n'était pas entretenue par son seul maître. Elle comprenait mieux le médaillon en or désormais. Après être restée bouche bée quelques instants, elle se retourna vers son prince charmant qui, ayant ôté sa cape, se débarrassait de ses bottes.
De son corps robuste émanait la force des glorieux: celle des héros ou du moins, des commandants d'armée. Sous sa simple chemise de lin saillait des muscles comme forgés dans un acier inoxydable. La carrure de cet homme l'impressionna, surtout quand elle vit son visage carré, aux traits grossiers et aux rides prononcées; des cheveux grisonnants mal coupés lui coulaient le long des épaules: Azhura eut un bref mouvement de recul. Elle ne baisait pas les vieux!


-Je vois votre regard demoiselle, mais ne vous inquiétez pas. Je n'ai pas l'intention de me satisfaire de votre corps. J'ai été mage de guerre, dans le temps, et désormais, je suis alchimiste. J'ai besoin d'aide et de soins pour mon atelier.

Elle déglutit. Qu'est-ce que c'était que ce délire ? Elle se prostituait, elle ne... n'aidait pas les viocs à s'amuser avec des potions glauques dans des ateliers aussi... luxueux soient-ils. Elle grimaça, mais finit par prononcer une phrase d'une voix mal assurée.

-Mais... je suis une prostituée, je sais pas... faire ce que vous voulez là.

-Vous ne savez sans doute même pas lire, mais comme toute chose, cela s'apprend. Je vous enseignerais tout ce que vous avez à savoir, et je vous payerais autant par nuit que ce que vous demandez à vos clients pour vos... services. Je ne vous payerais pas pour le jour, je vous le revaudrai en vous logeant et vous nourrissant. Je sais que vous ne pouvez pas refuser, alors ne vous étendez pas en parole. C'est une offre plus qu'intéressante.

Elle se tut, jeta un œil à l'atelier. Effectivement, c'était intéressant, mais cela cachait sans doute bien des choses; et elle possédait déjà trop de questions à lui poser pour que tout marche.

-Je ne peux pas accepter! Je... suis une prostituée, je viens de vous le dire. Je n'ai rien à faire ici, n'y connait rien, je ne sais même pas me comporter en société. Pourquoi n'engagez-vous pas un apprenti ou ce genre de gens là qui servent à ça ?

L'homme sourit; elle le trouva hideux.

-C'est simple, les apprentis n'ont pas une si belle poitrine, et j'ai besoin de vendre. Une vendeuse aussi attirante que vous fera revenir mes clients. De plus, j'aurais frayeur pendant mes expériences de vous écorcher, ainsi cela n'arrivera pas car je serais prudent. Mon ancien apprenti est mort en laissant échapper de la bélissande: je ne l'appréciais pas, il possédait ses mains affreuses de boucher. Vos fines et douces mains, elles, ne méritent pas de mauvais traitement. Je ne pense pas que vous me compreniez.

-Je...

-Votre chambre est à l'étage; j'ai acheté des vêtements de plusieurs tailles, vous les essayerez, je tiens à ce que vous soyez présentable.

-Mais...

-Naturellement. J'ai fait monté un repas pour ce soir, et vous mangerez demain dans le cellier où je vous expliquerais plus en détail votre travail. Passez une agréable nuit.

Et ainsi, Azhura rencontra un homme insoumis à ses charmes, insoumis à ses volontés.
Et ainsi, Azhura fut embauchée comme apprentie chez l'un des alchimistes les plus étranges d'Avoriaz, mais aussi et surtout, l'un des plus riches. Il ne se trompait pas, une vendeuse possédant de si beaux atouts fit vite affluer les clients.
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MessageSujet: Re: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty2009-11-20, 00:57

Mais tout ne dure qu'un temps.

Azhura passa un an et demi au service de cet étrange alchimiste, Zendar Miga, à apprendre la science des plantes, des potions, des poisons, des filtres et même de quelques élixirs. Elle en oublia son ancienne nature de prostituée, et vécut libre et plus ou moins heureuse d'un travail plus passionnant mais surtout tout aussi manipulateur (les filtres ayant pour but d'influer clairement sur les comportements) qui lui allait comme un gant. Zendar lui apprit à écrire, elle le lui rendit particulièrement bien, en s'avérant excellente pour vendre mais aussi pour garder la boutique quand il s'absentait durant ses voyages pour la recherche de plantes ou du commerce avec d'autres alchimistes des villes environnantes, et tout naturellement pour lui assurer quelques souvenirs de sa jeunesse, quand il courrait encore les jupons -qui fut plutôt le jupon d'Azhura. Elle tissa une amitié plus que forte avec l'homme et parvint à espérer même dans l'espèce humaine les derniers mois.

Les derniers mois.
Puis soudain, une race inconnue venue du nord balaya tout: la cité d'Avoriaz, les cultures, les gens. Zendar lui conseilla de fuir; tandis qu'il disparaîtrait. Elle refusa d'abandonner ce qu'elle avait mis des semaines acharnées à construire: une nouvelle vie. Il la laissa écroulée dans son magasin avant de prendre sa monture et de disparaître à jamais: peut-être s'en est-il sorti. Elle l'espère.

Les chérubins qui la trouvèrent profitèrent d'elle, de son corps. Bientôt, pour éviter la torture et la mort, elle se vendit de nouveau et recommença son "métier" de prostitué; mais elle ne veut plus qu'une chose: se débarrasser de tous ces gens, afin de retrouver Zendar et ouvrir de nouveau boutique.
Ingrid Neels


Ingrid Neels
Ingrid Neels Féminin
Age : 27 ans
Race : Humaine
Classe : Artificier
Niveau : 1
Expérience : 0/3200
Argent : 0!
Dons & Capacités : Maîtrise de l'arquebuse basique, maîtrise de la dague basique, port de l'armure légère, port de l'armure moyenne.
Inventaire : Rapière, dague, pistolet, paquetage (gourde, nourriture au gré des réapprovisionnement, couverture, corde, flûte)
Items : Potion de soins mineurs (x1).
En retraite :
  • Non

Médailles : Azhura Gaedig 13087826
MessageSujet: Re: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty2009-11-20, 21:51

Ca t'inspire dis donc les prostituées ^^'

Rien à redire, fiche validée. ;o
https://keiter.forumperso.com/t194-ingrid-neels
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MessageSujet: Re: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty2009-11-20, 22:32

Merci!

Oui ça m'inspire ahahaha. C'est ça que je veux faire plus tard!
Aherm.
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MessageSujet: Re: Azhura Gaedig   Azhura Gaedig Empty

 

Azhura Gaedig

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